La vague,
essoufflée,
le corps
encore humide
trempant
dans la tourmente
argentée,
s’étire
et se donne
au sable
en fredonnant
ce long
grésillement
carmin
qui fleuri,
à la fin,
les bûches
de l’âtre.
_____________
Photo: Anne-Flore MARXER ~ https://www.instagram.com/annefloremarxer/